29/10/2007

Essuie-toi avec les rideaux !




Nous avions envie. Trois mois que nous nous n’étions pas vus. Partie dans mon élan, je retrouvais nos vieux réflexes. Deux corps qui se connaissent et qui n’ont pas besoin de se mentir. Juste se réapprivoiser. Sur pilotage automatique, je commençais mes vocalises, le souffle coupé, mes mains essorant les draps. Moi, je n’ai compris que plus tard. Je n’avais pas entendu que sa mère était à côté. Passant innocemment l’aspirateur. Et que le seul moyen qu’il avait trouvé pour me faire taire, c’était de m’étouffer avec un coussin tout en continuer de me besogner.

J’en rigole encore.


Publié par Rosa

17/10/2007

Hello! I am bored this afternoon !


Il y a fort longtemps, je devais être avoir 16 ans ou 17 ans. On avait picolé comme il faut pour être perché. Je dansais tranquillement sur le dancefloor, deux filles autour de moi et dans ma tête une seule question: "Laquelle?"
Parce que je suis du genre chanceux, la plus moche des 2 me saute littéralement dessus lors d'un slow. Ce n'est qu'à la fin que je réalise dans quelle merde je suis... J'essaye de me dégager, je file dehors. Elle me suit. Je me sens pas bien.
Parce que elle est à fond style "je t'aime, t'es l'homme de ma vie". Moi, ça me bloque. J'ai envie de gerber et elle me colle, la conne.

Je bats en retraite mais elle insiste en mode "je suis pour l'amour libre"…
J'arrive à me dégager. Enfin !
La soirée se passe et là le tel de mon pote sonne et c'est l'autre patafix qui ne démord pas de l'idée de me faire venir entre ses reins. Faut absolument que je te revois et si c'est pas le cas, moi si je te revois pas, je me tue!
Sur cette phrase magnifiquement tragique, le téléphone s'éteint. Seulement 6 min, le temps de trouver une porte de sortie avec mon pote. Depuis, elle croit que je me suis serré sa copine dans les chiottes...

par Fredo

15/10/2007

Dis, tu me prêtes tes poils ?




Je me souviendrai toujours de lui. Un culot incroyable. A peine le constat dressé qu’il me proposait déjà un verre. Avouez que les plans drague de ce genre arrivent souvent de la part de gros lourds habitués au manège. Pire, ça vous traite de salopes si vous refusez. Mais là, je ne sais pas… J’ai accepté. Le soir même, nous étions dans le même lit. « Il lui est arrivé un problème ? » ai-je dit naïvement devant son sexe imberbe. Honte suprême, après coup. Non, môsieur ne supportait pas les poils. Chez lui et chez les autres. Puis, il m’a mis une laisse autour du cou…

Je ne me sentais pas humiliée, ni rabaissée. Etrange sentiment que provoque l’intimité. Bien au contraire, je me sentais désirée et il pouvait me guidé à sa guise. C’est l’expérience la plus troublante que j’ai vécue. Nous ne nous sommes jamais revus.

Publié par Rosa

14/10/2007

Please type it in your browser without space


Je viens de passer 10 min à dévisager un grand brun dans le métro.
Genre moi: où tu veux quand tu veux.
C'est mal docteur?

Par Appoleen

13/10/2007

La première chose que vous faites le matin...



Je lave mes boules de Geisha.
Je range ma boîte de capotes.
Je me rhabille.
JE LAVE MES DOIGTS.
Je m'extasie devant le corps de la belle blonde qui ronfle à côté de moi comme un petit animal blessé.
Je re-commence une fellation.
Je suis tout prêt à m'engager dans le métro. Le trou le plus profond.


Par Karl-A et Joseph

12/10/2007

Montre-moi ta bouche


Une girl d'Indigo a proposé sa bouche à Ra7or.
Ce qu'on f'rait pas pour un kiss.
Va voter mon loup. C'est ici.

Gold fingers




J’avoue sur le coup que j’ai halluciné quand il m’a dit ça à l’oreille. Je n’y avais même jamais réfléchi ! Mais c’est qui ce mec ??? Me réclamer à l’oreille une « douche dorée » pendant notre premier rapport, fallait le faire ! A moins que ça n’était que pour montrer qu’il avait une grande tolérance et de l’expérience pour le non conventionnel. Arf. Après tout… Je voulais bien remporter le défi si c’était pour ne pas passer pour une coincée. Me mettant sur lui, je lui ai roulé un gros palot et ai commencé accroupie à lui uriner dessus. Le jet chaud éclatait sur son ventre et se déversait sur le lit. Lui, gémissait dans ma bouche, jusqu’à ce qu’il m’arrache violemment de lui en hurlant : « Mais t’es folle ou quoi ??? »

Je n’ai jamais su s’il s’était défilé ou si c’est un quiproquo. Encore un qui ne rappellera jamais.

Publié par Rosa